« Jeune femme, 30 ans et des poussières, échange coloc gay et propre contre bébé silencieux. Contactez Agathe. URGENT! Cause ménopause dans 8 ans. »
Agathe a 33 ans et elle est inquiète. Elle travaille dans les Relations Publiques, a des amants et des amis, mais toujours pas d’enfant. Persuadée d’avoir échoué dans sa quête amoureuse, elle ne renonce pas pour autant à l’idée d’avoir un bébé. La situation devient urgente :
son horloge biologique tourne !
Ses deux meilleurs amis, Charlotte et Damien, vont tenter de l’en dissuader. Pour Charlotte, un bébé, c’est forcément l’accomplissement d’un amour entre un mari et sa femme ; et pour Damien, le colocataire gay d’Agathe , c’est beaucoup de contraintes et la fin des grasses mâtinées !
Et Agathe est entêtée. Pour elle, son bonheur réside dans sa future maternité. Mais dépourvue d’avenir sentimental, elle décide de faire appel à la science. Internet et La Fécondation In Vitro ne seraient-ils pas finalement LA solution ?!
Elle recherche, envers et contre tous, celui qui pourra lui apporter, faute d’amour, un patrimoine génétique satisfaisant.
Mais un revers de situation va finalement modifier les plans de chacun et obliger Agathe à repenser son envie d’être maman…
Presse:
« Un petit bijou! Une suite de gags, de bons mots absolument irrésistibles qui s’enchaînent sans répit pendant une heure. Une écriture optimiste, très dynamique. Les 4 comédiens sont excellents! »
Marie-Hélène Kerkeni – IDFM
« Voilà une pièce bien écrite, bien jouée, bien menée sur un sujet bien du moment: le célibat plus subi que choisi et le désir de maternité chez les bobos trentenaires, le tout sur fond de colocataire homosexuel, de meilleure copine tradi et de mère envahissante. Bon. Jusque-là, rien de neuf. Mais ce qui est notable avec Les Deux pieds dans le bonheur, c’est moins l’originalité de son propos que l’efficacité de son écriture et la qualité du jeu des acteurs. Sur un sujet qui, depuis quelques années, donne lieu aux pires navets en enfilade, Géraldine Therre et Erwin Zirmi signent une pièce vive et sympathique – sans même se forcer à éliminer tous les clichés du genre. Une pièce agréable donc, qui ne fait pas perdre sa soirée et qui, sans renouveler les codes du boulevard, leur donne cette petite touche de fraîcheur qu’on croyait perdue… »
Alexis Sainte Marie – La Cigale
La jaune et la rouge : cliquez ici
© 2014 Erwin Zirmi – Création: Marianne Feignier